Interview Cécile Neuville : Je joue et je découvre mes émotions

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cecile-neuville-psychologue-psychologie-positiveCécile Neuville psychologue spécialisée en psychologie positive.

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Interview Cécile Neuville :

 

Delphine : Bonjour à tous, je suis Delphine, coach de vie positive et auteur du blog Une vie merveilleuse. J’ai le plaisir aujourd’hui d’interviewer Cécile Neuville pour la sortie de son nouveau livre, qui est aussi d’ailleurs un jeu de l’oie heureuse, et qui s’intitule Je joue et je découvre mes émotions.

Bonjour Cécile, comment vas-tu ?

 

Cécile Neuville : Bonjour Delphine. Eh bien, écoute, je suis en pleine forme de bon matin. Toujours pleine d’envie, d’énergie, pour débuter une journée. Donc ravie de la commencer avec toi.

 

Delphine : Chouette. Alors, avant qu’on parle de ton livre plus précisément, j’aimerais que tu nous parles déjà de toi, de ton travail, de ton parcours, de tes activités. Parce qu’on sait que tu es une femme multi-casquettes, tu es psychologue spécialisée en psychologie positive, mais tu fais aussi plein plein d’autres choses à côté. Ta vie déborde d’activités diverses et variées. Alors parle-nous un peu de toi. Qu’est ce qui t’occupe, qu’est ce que tu fais de ta vie ?

 

Cécile Neuville : Eh bien, effectivement, mon cœur de métier c’est effectivement psychologue et j’ai l’impression que finalement je suis un peu psychologue dans les différentes parties de mes activités professionnelles parce que l’objectif commun à toutes mes activités c’est d’aider les gens à aller mieux. Donc ça c’est vraiment, voilà, une volonté, une ambition, un rêve de vie que j’ai de contribuer à plus de bonheur dans le monde, à tous les niveaux et pour tous. Sous quelle forme ? Bah du coup au départ, effectivement, en cabinet en accompagnant des enfants, des ados, des adultes, des personnes âgées, des couples. Voila, tout type de public.

Je m’inspire de la psychologie positive pour vraiment reposer sur les forces et les talents de chacun, pour les aider à aller mieux. Et puis après, au bout d’un moment, c’était pas assez donc il a fallu qu’on développe ; alors je dis on parce que je suis associée avec une autre coach professionnelle qui est maintenant mon associée, ma binôme, Anne-Laure Dabo, et on a créé un centre de formation pour pouvoir rayonner encore plus large, en formant des coachs à toutes ces pratiques de psychologie positive. Donc, de là, du coup maintenant, je suis dirigeante du centre de formation « Zen Pro », ce qui me prend quand même pas mal de temps sur mes activités, c’est clair, mais c’est passionnant parce que c’est génial de former des gens qui vont eux-mêmes pouvoir déployer leurs compétences et leur nature humaine et leur motivation au service du bonheur des autres, donc j’ai l’impression de rayonner encore plus grand.

Donc ça c’est une deuxième activité, et puis après j’ai quand même une partie plus créative. Donc, comme tu le disais, j’ai écrit un livre, mais pas qu’un en fait, j’en ai déjà écrits plusieurs. J’ai créé ce jeu aussi, le « jeu de l’oie heureuse ». Pour moi c’est important, bah là encore, pour diffuser ce que j’ai dans ma tête, qui déborde, qui fuse chaque jour.

Voilà, j’ai l’impression d’avoir toujours des millions d’idées, de choses que j’ai envie de faire partager au plus grand nombre, et je trouve ça un peu égoïste de les partager une par une en cabinet. Donc, du coup, à un moment donné j’ai voulu écrire. Des maisons d’édition m’ont fait confiance, et voilà, j’en suis à cinq livres, plus ce livre jeu finalement. Et je suis ravie, je continue, j’écris en moyenne deux livres par an maintenant, et c’est vraiment un vrai bonheur pour moi aussi de contribuer à diffuser mon expérience, mes connaissances, et mon enthousiasme pour la vie au plus grand nombre, au travers de mes livres et de mes jeux maintenant. J’espère bien en créer d’autres.

 

Delphine : Ok. Alors, tu as parlé de psychologie positive, alors est-ce que tu peux nous donner les grandes lignes de ce que tu entends par « psychologie positive », et puis en quoi ça peut aider, justement, les personnes à être plus heureuses. J’imagine que c’est le but de la psychologie positive.

 

Cécile Neuville : Oui, effectivement. Alors, en tant que psychologues on nous forme beaucoup à l’université, dans les livres et dans tous les évènements jusqu’à présent, beaucoup à la psychologie, donc au sens large. La psychologie s’intéresse au fonctionnement humain. Et donc, jusqu’à présent, dans la psychologie traditionnelle il y avait à peu près 90% de recherche effectuée sur les problèmes et les dysfonctionnements de l’être humain, et très peu, finalement, sur les fonctionnements et tout ce qui permet aux êtres humains de se développer, de s’épanouir, et d’aller vers l’avant. Et, maintenant, ça fait quand même pas loin de vingt ans, quand même, ça reste très récent finalement, par rapport à l’histoire de la psychologie. Une vingtaine d’années. Mais il y a une vingtaine d’années, voilà, Martin Seligman, le premier à avoir lancé cette dynamique de psychologie positive, s’est demandé « et si on s’intéressait aussi à l’autre facette de l’être humain, c’est à dire à tout ce qui fonctionne, aux gens les plus heureux, aux enfants qui réussissent à l’école, aux couples qui durent longtemps, aux personnes qui vivent le plus longtemps sur la planète ? » Il y a des zones, comme ça, géographiques très connues, dans lesquelles il y a le plus de centenaires. Pourquoi, là-bas, ils vivent plus longtemps, et en bonne santé ?

Voilà, c’est vraiment de mettre en place un protocole d’étude de ces personnes pour en ressortir, après, des applications que tout le monde peut appliquer dans sa vie, pour pouvoir être plus heureux, vivre en bonne santé, vivre plus longtemps, réussir à l’école, etc. Donc c’est une démarche scientifique, c’est une science qui s’intéresse à tout ce qui fonctionne chez l’être humain, pour pouvoir l’aider à vivre une vie qui vaut la peine d’être vécue. Voilà en quelques lignes.

 

Delphine : Ok, parfait. Et donc, maintenant, pour revenir sur ton livre : pourquoi as tu eu envie d’écrire ce livre ? Je rappelle le titre Je joues et je découvre mes émotions. Dans quel but ? Quel est le profil des personnes ? À qui s’adresse t-il ?

 

Cécile Neuville : Alors, effectivement, il a une petite histoire ce livre. Moi je suis maman aussi, accessoirement. En fait, c’est vraiment le pilier de ma vie. Mon socle, c’est ma famille. Donc je suis mariée, j’ai trois enfants, et donc du coup en tant que maman c’est vrai que c’était important pour moi d’éduquer mes enfants avec cette approche de psychologie positive aussi, pour leur donner les meilleurs moyens de s’épanouir, maintenant, et en tant qu’adultes à venir. Et puis, du coup, je me suis beaucoup intéressée à toute cette partie là, donc ce qu’on appelle l’éducation positive, la discipline positive, et donc tout ça s’appuie aussi sur des recherches de psychologie positive, entre autres, sur l’enfant et l’éducation.

Et donc, du coup, de là, je me rends compte que moi j’aime pas mal appliquer ça en forme de jeux avec ma propre famille. Par exemple, à un anniversaire avec les copains, j’organise un jeu de l’oie du bonheur où il y a des petites épreuves par équipes et où tous les enfants se réjouissent de parler de leur plat préféré, de leur animal préféré, de ce qui les rendrait heureux si ils avaient une baguette magique, etc. Je trouve ça génial les résultats que ça peut avoir, et je me dis que c’est vraiment dommage qu’un jeu comme ça n’existe pas.

Et en fait, de là, une autre personne, qui a fait une formation avec nous, m’explique qu’il a lui-même fabriqué un jeu de l’oie dans ses ateliers, pour les enfants et, du coup, un peu proche de cette idée là, avec des questions de psychologie positive aussi dedans. Je trouve ça super, on en parle, et on se dit ensemble « et si on voyait pour, peut-être, en faire éditer un parce que, au final, tout le monde trouve ça génial mais en fait ça n’existe pas, on peut le diffuser, et il n’y en a pas encore en vente, en production ».

Donc on s’est renseigné auprès des maisons d’éditions. Moi, étant déjà auteur, j’avais déjà des contacts avec des maisons d’éditions donc c’était pratique. Et puis, finalement, une de mes maisons d’édition, la maison d’édition Solar, après une petite étude de marché et tout ça,  s’est dit, « bon, ça n’existe pas encore, on ne sait pas encore si ça va marcher, mais ça a l’air d’être un créneau porteur. Je pense que ça va plaire au gens ». Du coup elle a tenté le coup, elle a misé sur notre idée, et de là est né vraiment ce jeu au départ.

Et finalement, on s’est dit, à qui s’adresse ce jeu ? Est-ce que c’est à des personnes qui s’y connaissent déjà en développement personnel, où est-ce que c’est à monsieur et madame tout le monde ? Donc notre volonté c’était vraiment que tous les parents, quels qu’ils soient, puissent utiliser ce jeu en famille, avec leurs enfants.

Mais pour ça, ça veut dire qu’il va falloir les initier un minimum à l’intelligence émotionnelle dont il est question dans le jeu, sur lequel repose ce jeu, et donc du coup la maison d’édition nous a sollicités pour écrire un livre joint à ce jeu, et au final c’est devenu un « livre-jeu ». Le livre, justement, Je joues et je découvre mes émotions qui, lui, a pour but de, d’initier, de former le parents, à bien parler des émotions avec les enfants, à mettre en place des rituels favorisant l’expression des émotions au sein de la famille, avec des exercices pratiques, du coaching pour lui-même, parce que c’est important que le parent lui-même puisse bien gérer ses émotions pour pouvoir inspirer son enfant qui, lui, va le modéliser quoi qu’il arrive, parce que le meilleur apprentissage de tout enfant c’est de reproduire ce qu’il voit chez les personnes qui l’entourent le plus souvent, et en particulier, donc, ses parents.

Donc voilà, c’est un livre éducatif pour les parents, et un jeu éducatif pour parents et enfants pour que tout le monde prenne du plaisir tout en augmentant ses chances d’être heureux, tous ensemble. Voilà.

 

Delphine : Ok. Donc l’intelligence émotionnelle dont tu faisais référence c’est apprendre à gérer ses émotions avec intelligence c’est ça ?

 

Cécile Neuville : Oui, l’intelligence émotionnelle on pourrait résumer ça en l’apprentissage, en fait, de savoir identifier ses émotions, savoir exprimer ses émotions, savoir les partager, mais aussi savoir identifier les émotions de l’autre, l’aider à les exprimer, et pouvoir collaborer ensemble au quotidien, vivre ensemble au quotidien, en tenant compte des émotions des uns et des autres de façon intelligente, mais dans une forme d’intelligence collective puisqu’on est tous ensemble, on est pas un seul être humain. On est un être humain au milieu des autres et donc les émotions de chacun influencent sur les relations et sur l’épanouissement de chacun. Donc, oui, l’intelligence émotionnelle c’est identifier, exprimer, partager les émotions des uns et des autres tous ensemble.

 

Delphine : Ok, parfait, beau programme.

 

Cécile Neuville : Et donc, dans le jeu, l’idée c’est de faciliter cet apprentissage en s’amusant, donc il y a des petites questions pour identifier les émotions : que ressens-tu quand, par exemple, tu es face à quelqu’un qui est en colère ? Que ressens-tu quand une personne est en souffrance ? Que ressens-tu quand tu reçois un cadeau à noël que tu attendais depuis très longtemps ?

Voilà, déjà on essaye de favoriser l’expression de moments simples d’émotions, mais aussi d’en ressentir, et de s’amuser avec des petits défis. Alors ça, j’adore. Dans le jeu il fallait aussi, parce que un enfant il peut pas tenir plus de, allez, cinq minutes – dix minutes sans bouger. Un enfant il a besoin de bouger donc, du coup, dans le jeu on a voulu faire des petites choses pour stimuler un petit peu, et faire du mouvement pour tout le monde, même les adultes d’ailleurs.

Du coup il y a des petits défis sur certaines cases du jeu de l’oie. Et donc, par exemple, on va les faire mimer un moine qui médite. Donc pour se mettre dans la peau et l’émotion de l’instinct, dix secondes, de quelqu’un qui se pose et qui se concentre. Mine de rien, il y a certains enfants, ce sera la première fois de leur vie qu’ils feront une première méditation. Très très courte, mais c’est vraiment déjà le début. Après, il va y avoir des choses beaucoup plus drôles comme « imite un chien qui cherche son os avec impatience ». Donc pour montrer aussi, vivre, l’enthousiasme, la curiosité, ce qui se rapproche beaucoup, finalement, de l’attente des cadeaux de noël. Voilà, dans l’émotion c’est un peu ça quoi « il est où, il est où, je le veux, je le veux ».

Et après on les fait s’exprimer sur ce qu’ils ont ressenti en faisant ce défi. Donc ça passe aussi par le corps. C’est important que l’émotionnel soit aussi rattaché au vécu, à l’expérience, et au corps. Et en s’amusant, évidemment.

 

Delphine : Ok. Bon bah en tout cas ça donne envie. Tu en parles, on voit, avec passion. Je pense que ça t’a beaucoup passionné d’écrire ce nouveau livre et de le mettre en forme en jeu. En tout cas, je sais que tu es très joueuse, comme tu le dis souvent. Donc ça devait être un beau projet pour toi et on se réjouit de le découvrir et de le faire découvrir aux autres.

 

Cécile Neuville : Oui, effectivement. En plus j’ai eu le plaisir de le tester avec ma propre famille. Et c’est vrai que, malgré le fait que moi je sois déjà dans cette dynamique, que mes enfants le soient déjà, on a déjà l’habitude de parler beaucoup. Bah malgré tout, le fait de jouer ensemble a encore permis d’ouvrir de nouvelles portes, de parler de choses dont on parle pas encore d’habitude.

De vivre des petites émotions, ça fait la petite larme aux yeux de temps en temps d’entendre ses enfants dire des choses comme ça, « avec qui j’aime le plus cuisiner ? » « oh avec papa, parce que c’est trop drôle et on s’éclate ensemble et tout». Evidemment, quand j’entends ma fille dire ça de son père, de mon mari, évidemment ça me touche énormément humainement.

Et donc c‘est ça aussi, c’est créer du lien émotionnel aussi pendant la partie, et en ressortir nourris et un peu plus liés encore tous ensemble. J’adore !

Pour la petite anecdote, il y a deux jours, donc ce week-end, mes enfants m’ont demandé si ils pouvaient y rejouer entre eux avec leurs copains. Donc ils ont pris le jeu, je les ai entendu jouer dehors et j’ai trouvé ça sympa de les entendre entre eux, même sans parents, entre copains. Et là aussi ça a un impact assez intéressant, entre enfants, de les voir parler des émotions entre eux, rigoler. C’est un peu moins sérieux, un peu plus brouillon, mais c’était vraiment très drôle, et intéressant pour eux aussi.

 

Delphine : Chouette. Multiples fonctions. Donc ce jeu peut vraiment permettre de jouer de multiples manières. Parfait. Ok, bon bah alors écoutes Cécile cette interview va être bientôt terminée. Je vais juste encore te poser une petite question. Qui est aujourd’hui ton mentor, la personne qui te pousse le matin à avancer un peu plus dans la vie, qui te stimule en ce moment ?

 

Cécile Neuville : Ah, bah écoutes, j’ai plusieurs idées qui me viennent. Je vais essayer de faire court. D’habitude, quand on me demande une personne mentor professionnelle, je réponds souvent un grand coach américain qui s’appelle Tony Robbins qui m’inspire en tant que coach professionnel et humaniste et bienveillant vraiment avec une puissance et un dynamisme. Donc il continue à être mon mentor.

Mais, vu la thématique qu’on vient d’aborder, finalement j’ai envie de dire, étonnement mais assez sincèrement, mes plus grands mentors ce sont mes enfants. C’est à dire que chaque jour mes enfants m’inspirent et me rappellent que ça fait du bien de rigoler pour rien, de danser alors qu’il y a rien, de rire, d’être dans la simplicité, dans la joie, le partage, la curiosité aussi, cette expérience très enfantine de la vie. À chaque fois ils me rappellent, voilà, que c’est génial de jouer, de s’amuser, et je pense que c’est ça, par exemple, qui m’amène à vouloir faire ces jeux, et non pas simplement des cours pour les parents. Mais vraiment de jouer ensemble, vivre ensemble, les émotions. Et ça, je crois vraiment que c’est eux mes meilleurs inspirateurs au final. Mes enfants sont mes propres mentors, c’est merveilleux.

 

Delphine : C’est vrai, quand on est parents on grandit avec ses enfants.

 

Cécile Neuville : Exactement

 

Delphine : Parfait. Merci beaucoup Cécile pour cette disponibilité, ta sympathie, ton sourire qui transperce à travers les ondes en tout cas. Même si vous ne la voyez pas je pense que vous aurez entendu son sourire et ses rires derrière ses mots. Merci aux auditeurs du blog Une vie merveilleuse de nous avoir écoutés. J’espère que ça vous aura donné envie de découvrir ce nouveau livre, ou en tout cas la psychologie positive, en famille. Et puis en apprendre un peu plus sur l’éducation bienveillante envers nos enfants, qui est vraiment important maintenant. Est-ce que tu as, Cécile, un dernier petit mot à rajouter, ou une phrase fétiche, quelque chose ?

 

Cécile Neuville : oui, écoute. Une partie de jeu de l’oie est une partie d’équipe. On est tous ensemble et où le but du jeu, je l’ai pas dit, c’est vraiment d’être ensemble pour atteindre la case, arriver à la case bonheur avant une horaire qu’on a déterminé en équipe ensemble. Il n’y a pas de gagnant et de perdant, on gagne tous ensemble et on fini par un tour de gratitude. C’est  à dire un tour où on se remercie les uns les autres pour ce moment partagé, pour tout ce qu’on a appris et apporté les uns aux autres. Donc bah j’ai envie de terminer aussi par ce petit temps de gratitude, comme tu as commencé à l’ouvrir. Eh bien, du coup, donc merci, déjà, à toi pour cette interview et de m’avoir fait confiance, de faire appel à moi pour partager ça au plus grand nombre. Et puis, bah merci, au nom de toutes les personnes qui te suivent et qui t’écoutent et à qui tu permets d’ouvrir de nouvelles portes chaque jour et de découvrir de nouvelles inspirations aussi, donc merci à toi et merci à toutes les personnes qui contribuent à ton blog et à tout ce que tu transmets.

 

Delphine : Bonne journée Cécile, à bientôt. Merci.

 

Cécile Neuville : Merci, au revoir.

 

 

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2 thoughts on “Interview Cécile Neuville : Je joue et je découvre mes émotions

  1. Violaine says:

    Merci Delphine pour cette interview ! Un livre que je vais devoir lire très vite… Moi aussi je devrai interviewer Cécile Neuville 😉 sur son jeu de l’oie positif aussi. Merci pour cette découverte !

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