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Delphine : Bonjour et bienvenue sur le blog « Une vie merveilleuse ». Je suis Delphine, coach de vie positive, j’ai le plaisir et l’honneur aujourd’hui d’interviewer Olivier Roland, qui nous parle de son livre Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études.
Delphine : Bonjour Olivier,
Olivier Roland : Bonjour Delphine
Delphine : Comment vas-tu ?
Olivier Roland : écoute ça va. Je suis un peu fébrile parce que le livre sort dans quelques jours, mais heureux. Je suis très heureux de voir quatre ans de travail enfin voir leur aboutissement.
Delphine : Chouette.
Olivier, tu as arrêté tes études à 18 ans, aujourd’hui tu es à la tête d’un véritable business. Tu es entrepreneur à succès sur le web, et en dehors du web, tu es un bloggeur professionnel, tu aimes nous faire saliver en rappelant à tes lecteurs et auditeurs que tu voyages au moins 6 mois par an. Tu es donc l’image de la réussite professionnelle. Et pourtant tu dis avoir raté tes études. Alors, comment peux-tu nous expliquer ton parcours et ta réussite ?
Olivier Roland : Écoute, moi j’ai arrêté l’école à 18 ans pour créer ma toute première entreprise à 19 ans. C’était une extraordinaire aventure humaine, j’ai appris énormément de choses, et depuis je n’ai jamais regardé en arrière. Le seul emploi salarié de ma vie ça a été un petit boulot d’un mois et demi dans une crêperie, juste entre le moment où mon père m’a jeté dehors quelques mois avant de créer ma boite, donc c’était entre ce moment là et le moment où j’ai créé ma boite. Après, j’ai été entrepreneur tout le reste de ma vie, tout simplement. C’est vraiment une démarche consciente que j’ai faite, j’aime bien dire que j’ai un bac -2, et ça a été vraiment un choix. C’est à dire que j’ai décidé vraiment d’arrêter mes études pour me consacrer à mon projet de création d’entreprise tout simplement. Ça n’a pas été facile. J’ai failli planter la boite 6 mois après la création, mais au final j’ai réussi à surmonter les obstacles et je suis arrivé à en faire une petite entreprise rentable. C’était pas facebook, c’était pas google, c’était une petit boite de trois salariés, mais voilà, ça tournait bien ; je l’ai revendu sous forme de trois portefeuilles client dix ans plus tard, pour me consacrer à ma nouvelle entreprise sur le web, qui est, elle, au service de ma vie, alors qu’avant j’étais au service de la vie de ma première entreprise. Cette entreprise me permet aujourd’hui de voyager 6 mois par an.
Delphine : C’était une évidence pour toi, du coup, de quitter l’école à 18 ans, une nécessité, un bien pour un mal ?
Olivier Roland : Écoute, je ne me sentais vraiment pas à l’aise dans le système éducatif, je m’ennuyais comme un rat mort. J’étais tellement démotivé qu’un jour le directeur m’a convoqué et m’a dit « Écoutes Olivier, faut qu’on fasse quelque chose, t’es tellement démotivé que tu démotives les profs. Ils veulent plus aller en cours quand t’es là ». C’était pour dire, j’avais atteint un niveau exceptionnel quand même à ce niveau là. Je cherchais des moyens, comme beaucoup de jeunes de cet âge finalement. J’étais rebel tu vois, j’en avais marre de vivre chez mes parents, je voulais rentrer dans la vie active, je cherchais autre chose. Et c’est là où, en fait, avec un ami, on s’est rendu compte que, comme j’avais développé des compétences en informatique tout seul si tu veux, quand j’étais adolescent j’étais assez timide, assez introverti, je n’avais pas beaucoup d’amis, du coup, je me suis réfugié beaucoup dans les ordinateurs, ce qui m’a permis de développer des compétences, et avec un ami, donc, on s’est dit « mais pourquoi on gagnerait pas de l’argent avec ça ? ». Et on a eu l’idée de tester cette idée de gagner de l’argent avec nos compétences informatiques parce que en fait on se rendait compte qu’on nous demandait de dépanner des problèmes qui paraissaient insurmontables aux gens, et nous on le faisait comme ça. Et donc, qu’est-ce qu’on fait ? On passe une annonce, comme ça, dans un journal d’annonces locales. C’était en 99 et, à l’époque c’était en francs, on a investi 60 francs dans cette annonce. En un mois, on a eu 5000 francs de chiffre d’affaire. Je peux te dire que quand tu gagnes 50 francs d’argent de poche par semaine quand tu as 18 ans, quand tu vois ça tu fais « wouaw ». Si tu veux, cette énorme insatisfaction par rapport au système scolaire s’est conjuguée avec ça, où j’ai vu que, concrètement, si il y avait une demande, ça pouvait fonctionner. Je me suis dit Bingo ! J’arrête mes études, je me concentre sur la création de mon entreprise. J’ai bossé un an sur le projet et après j’ai créé ma boite ; donc un an plus tard, à 19 ans.
Delphine : Ok. Donc ça a payé, effectivement.
Olivier Roland : Exactement.
Delphine : C’était ça ton rêve de gosse ? De vivre ta vie, de faire ton entreprise, d’être indépendant ?
Olivier Roland : Alors, quand j’étais petit, on ne m’a jamais dit que je pouvais être entrepreneur donc ce n’était pas un rêve. Mes parents ne sont pas du tout entrepreneurs. Mon père a été employé, il l’est toujours d’ailleurs. Il a été facteur puis trieur de courrier à la poste, donc rien à voir. Et ma mère, c’était une mère au foyer pendant des années. Aujourd’hui elle fait de l’alphabétisation pour des gens qui viennent de pays étrangers, qui ont besoin d’apprendre le français. Donc, voilà, éducatrice spécialisée finalement. Mes parents ne sont pas du tout entrepreneurs. Mes grands-parents le sont un peu plus. J’ai un grand-père qui est artisan et l’autre qui est commerçant. Mais, voilà, c’est des petits entrepreneurs on va dire. Jamais on ne m’avait donné l’idée. J’avais eu, par contre, l’idée d’être libre. Ça c’est vrai.
J’ai toujours eu un côté très indépendant en moi. Je savais que je devais faire quelque chose qui allait dans ce sens là. Mais, non, si tu m’avais demandé à 10 ans ce que je voulais faire, j’aurais voulu être astronaute, ou pompier, ou pilote de chasse, comme beaucoup de garçons de cet âge finalement. Ou policier peut-être, mais certainement pas chef d’entreprise, je n’y aurais jamais pensé.
Delphine : Donc ton livre Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études ou comment devenir libre, vivre à fond et réussir en dehors du système s’adresse à ceux que tu appelles les rebelles intelligents. Mais alors, qui appelles-tu les rebelles intelligents ?
Olivier Roland : C’est une bonne question. En fait, mon livre n’est pas pour tout le monde, ça c’est évident. En fait, les rebelles intelligents, pour moi, ce sont les gens qui ne se sentent pas à l’aise dans le système dans lequel ils sont aujourd’hui, ça peut être le système scolaire, ça peut être le système d’entreprise dans lequel ils sont, et qui ressentent un appel à faire autre chose si tu veux. Ils le sentent au fond d’eux, ils peuvent même avoir tous les signes extérieurs de succès. Ça peut être quelqu’un qui a un beau diplôme bac +5, qui est cadre dans une grande entreprise, qui gagne très bien sa vie, qui a une belle voiture, une belle maison, etc., mais qui ressent au fond de lui que c’est pas comme ça qu’il veut vivre sa vie, qu’il aspire à autre chose. Souvent, cette autre chose c’est quelque chose à créer. Ça peut être un livre, ça peut être une pièce de théâtre, ça peut être une entreprise, mais c’est quelque chose qu’il a envie de faire par lui même et qui se passe en dehors de toutes ces balises, tout ces chemins qu’on lui a montrés. Il ressent ça mais il ne sait pas forcément comment répondre à cet appel, et il n’écoute pas forcément, mais il le sent quand même. Et plus il attend, et plus il sent un malaise entre sa situation actuelle et ce à quoi il aspire. C’est ça que j’appelle un rebelle intelligent. Il est rebelle dans le sens où il n’arrive pas vraiment à rentrer dans le moule où la société veut le mettre ; et il est intelligent dans le sens où ce n’est pas juste, pour donner une image, un punk « no futur » disant « à bas la société », tout ça. Non, il comprend que la société c’est important, qu’il faut apporter de la valeur, etc. Mais il veut essayer de réussir autrement. Et, le truc, c’est que je pense que, il y a beaucoup de personnes, c’est des braises, et potentiellement ça peut vraiment donner des feux gigantesques tu vois, avec beaucoup de lumière, beaucoup de chaleur, mais le problème c’est qu’on a mouillé ces braises toute leur vie. Du coup elles n’ont jamais pris. Et moi, ce que j’aimerais avec ce livre, c’est tout simplement être la petite brise qui fait que ces braises partent et que ça donne des beaux, grands feux. Parce que, c’est Picasso qui disait, tous les enfants naissent artistes, le problème c’est de rester artiste en grandissant.
Je pense que, aujourd’hui, d’ailleurs je le démontre dans la première partie de mon livre. En gros, juste pour faire une parenthèse, le livre a trois grandes parties. La première partie c’est « Pourquoi le système éducatif est obsolète et pourquoi il est vain d’attendre qu’il se réforme ? », deuxième partie « Comment hacker son apprentissage en boostant son intelligence, en apprenant à apprendre, en boostant sa volonté ? », et troisième partie, c’est « Comment créer une entreprise qui est au service de votre vie, plutôt que votre vie soit au service de votre entreprise ». Et dans la partie sur la critique du système éducatif, je reprends une très intéressante conférence du TED. Je ne sais pas si tu connais le TED ? C’est un site, si tu veux, où des conférences géniales faites par des mecs vraiment au top sont publiées. C’est vu par des millions et des millions de personnes. Une des vidéos les plus vues du TED c’est une vidéo de Sir Ken Robinson, qui a été vue plus de 30 millions de fois sur « l’école tue la créativité ». Il démontre, dans cette vidéo, que l’école est conçue à la base, et je le prouve aussi dans mon livre, pour créer des bons employés, des bons ouvriers, dociles, qui écoutent l’autorité, et certainement pas des gens autonomes, créatifs, entreprenants, etc. Ce qui fait que tu peux avoir des gens comme ça qui ont cet appel, ce potentiel de créativité d’entreprenariat, autonomie, et qui vont être étouffés par le système scolaire, et c’est ça que j’appelle mouiller les braises. Donc, finalement, mon livre je l’ai écrit pour toutes les braises qui demandent juste une petite brise pour prendre, tout simplement.
Delphine : Alors, on est d’accords que dans ton livre tu ne conseilles pas du tout d’arrêter les études.
Olivier Roland : Non
Delphine : Tu cherches simplement à ouvrir les esprits à un mode de pensée différent.
Olivier Roland : Exactement. La première chose que je veux montrer dans ce livre c’est que, trop souvent, le système éducatif est vu comme une vache sacrée intouchable, que l’on n’a pas le droit de critiquer. Je montre, au contraire, qu’il y a des tas de failles dans le système éducatif qui sont évidentes, et que l’on peut démontrer. Il n’y a pas que moi qui le dit d’ailleurs, il y a plein d’études qui le montrent, et de gens beaucoup plus connus que moi. Et, déjà, la première question que tu peux te poser, qui est interpellante, c’est qu’on peut passer 20 ans ou plus sur les bancs de l’école, et on ne nous apprend jamais à apprendre.
Delphine : C’est vrai
Olivier Roland : Comment t’expliques ça ? C’est quand même aberrant, c’est incroyable. Et je pense que ça vient en partie de cette philosophie de l’école qui n’est pas de créer des gens autonomes, c’est de créer des gens qui obéissent à l’autorité. Donc voilà. Et il y a beaucoup de choses à dire sur le système éducatif. Après, tout n’est pas à jeter. Je ne suis pas entrain de dire que tout est à jeter. Il n’y a pas si longtemps, les gens n’avaient pas le droit à l’éducation, et on voyait ce que ça donnait. Je suis complètement pour l’éducation, ce que je dis c’est qu’il ne faut pas croire que le système éducatif c’est quelque chose qui est parfait et incritiquable. Il faut, au contraire, être bien conscient de sa limitation, comprendre aussi que c’est un système qui a une inertie gigantesque, qu’il met des décennies à se réformer sur les trucs les plus simples du monde, et qu’il est complètement vain d’attendre qu’il se réforme. Du coup, quand on a conscience de ces limites, on peut prendre ce qu’il a de meilleur, et c’est important d’avoir une démarche personnelle pour contourner soi-même les limites du système éducatif, parce que si on attend on sera vieux avant que ça soit arrivé, et quand la réforme va arriver, de toute façon, elle arrivera trop tard parce que le monde aura déjà changé plus vite. Donc, tu vois, c’est vraiment une course sans fin si tu veux.
Voilà, je veux dire, il y a des techniques comme la répétition espacée. C’est quelque chose dans les neurosciences qui a été prouvée et re-reprouvée depuis des décennies comme étant plus efficace comme méthode d’apprentissage que ce qu’on utilise à l’école. Déjà en 1986, t’as 50 scientifiques américains qui ont écrit un article en disant, en gros, « mais on ne comprend pas pourquoi l’école utilise pas la répétition espacée alors que ça a été prouvé, prouvé, re-reprouvé que ça marche ». Et c’est pas normal. C’était en 86, c’était il y a 30 ans. Et 30 ans plus tard rien n’a changé, c’est toujours pareil. C’est juste pour dire qu’il y a vraiment une inertie énorme.
Après, je ne recommande pas aux gens d’arrêter l’école. Mois ce que j’ai fait c’était quand même très audacieux. Ce que j’essaye de partager dans le livre, finalement, c’est déjà d’être plus efficace dans son apprentissage, d’apprendre finalement toutes ces bases que l’école ne nous apprend pas et qui va nous servir pour toute notre vie. Ça va aussi nous servir pour notre scolarité, et aussi, dans l’idéal, de trouver ce qui nous passionne et se lancer dans ce projet à temps partiel à côté de nos études ou notre job. En gros tu as deux grandes écoles dans l’entreprenariat. T’as l’école qui dit, « on y va en mode bonzaï complet, on brûle nos vaisseaux derrière nous, on met le couteau entre les dents, et on fonce ». Tu vois, kamikaze. Tant pis, si on meurt on meurt, mais au moins on n’a pas le choix. Et t’as l’école plutôt du risque mesuré. C’est une erreur, un mythe, de croire que la plupart des entrepreneurs font partie de la première école. La plupart des entrepreneurs qui cartonnent sont des gens qui prennent des risques, c’est vrai, mais qui prennent des risques mesurés. Ils ont souvent des plans B, des plans C, des plans D, voir E, F, G ou H. Et ils essayent de faire en sorte que, même s’ils se plantent complètement, ça ne va pas chambouler leurs vies, ou les ruiner, etc. J’ai toujours été partisan de cette approche là. Quand j’ai décidé qu’est ce qui m’a donné la confiance d’arrêter l’école à 18 ans et de créer ma boite à 19, c’est tout simplement que j’avais fait le test en condition réelle. J’avais testé sur le terrain mon idée de créer un business de prestation informatique, et que ça avait fonctionné. Donc ça change tout. Et c’est ça que j’encourage les gens à faire. C’est vraiment de mettre en place une expérience concrète sur le terrain, avec le minimum de risque possible, le minimum d’argent, de temps, de ressources dépensées. Tout simplement.
Delphine : Créer sa vie avec intelligence.
Olivier Roland : C’est ça être intelligent. Et avoir une démarche de bon sceptique. C’est ce que je dis. Dans la vie, t’as les bons et les mauvais sceptiques. Typiquement, quand on va montrer une méthode qui est très efficace à quelqu’un, il va se dire « oui mais attend, c’est trop beau pour être vrai, c’est de l’arnaque ça, ça va pas marcher pour moi, etc». C’est normal de ressentir du scepticisme, c’est même sain. Tu peux soit utiliser ce scepticisme comme une excuse pour rien faire, comme les gens qui se disent « si c’était si efficace ça se saurait », ou alors tu vas utiliser ce scepticisme comme une motivation à agir, ou tu vas dire « ouais, peut être que c’est de l’arnaque, peut être que c’est pas vrai, peut être que ça fonctionne pas pour moi, mais il n’y a qu’une seule manière de le savoir, c’est de tester. »
Delphine : …je vais essayer quand même…
Olivier Roland : Exactement
Delphine : Ok. Alors, ce livre qui est donc un pavé, ça a l’air d’être quand même bien complet, il n’y a pas beaucoup d’images à priori J
Olivier Roland: Il y a quelques images mais, effectivement, si tu le tiens à bout de bras, et que tu agites les bras, ça peut te muscler en même temps. Tu fais ça tout les matins, ça te fait du sport. C’est bien, tu vois, c’est un livre multi-usage.
Delphine : Super, c’est un bon investissement alors.
Olivier Roland : Oui, c’est un gros livre.
Delphine : Tu dis que tu as mis 4 ans pour l’écrire, c’est ça ? Et puis que tu t’es entouré d’une bonne équipe ?
Olivier Roland : Alors, j’ai eu l’idée du livre il y a 4 ans, j’ai bossé dessus pendant 3 ans et demi. Il y a plus de 400 références scientifiques. C’est important pour moi parce que je ne voulais pas juste tirer des choses de mon expérience. C’est aussi basé sur l’expérience d’une centaine d’entrepreneurs, mais c’est aussi basé sur la science, il y a 400 références scientifiques, il y en a plus de 400. J’ai eu jusqu’à quatre assistants de recherche qui travaillaient pour moi, pour m’aider à trouver toutes ces références. C’était important pour moi de ne pas juste tirer les choses de mon chapeau et de partager les méthodes les plus pertinentes possibles.
Delphine : Ok, super. Alors, par tes blogs, Olivier, tu es devenu un mentor pour beaucoup de personnes qui cherchent à se lancer, notamment dans l’entreprenariat. J’aimerais savoir, aujourd’hui, qui est ton mentor à toi, qui est-ce qui te pousse à aller encore plus loin, à grandir toujours un peu plus ?
Olivier Roland : Écoutes, j’en ai plusieurs. Moi, mon inspiration qui m’a vraiment boostée à la base pour me lancer sur le web, c’est Tim Ferriss, l’auteur de La semaine de quatre heures, que je cite d’ailleurs pas mal dans mon bouquin. C’est toujours une inspiration pour moi aujourd’hui, j’aime beaucoup ce que fait Tim Ferriss. J’ai aussi un mentor qui est américain qui s’appelle Jeff Walker, qui est l’inventeur d’une méthode de lancement de produit qui s’appelle la Product Launch Formula, j’en parle dans le livre, qui est sans doute la méthode la plus efficace pour vendre en ligne jamais inventée. En gros, il s’agit de faire un peu ce que fait Apple et les studios Hollywoodiens, c’est à dire que quand ils sortent un produit c’est un véritable événement, tout le monde en parle. Mais on fait ça à notre échelle de TPE – PME tu vois, avec nos moyens, ça fonctionne très bien. Et puis j’ai aussi un ami brésilien qui s’appelle Erico Rocha, qui est un extraordinaire entrepreneur aussi, et qui m’inspire beaucoup. Aujourd’hui j’apprends beaucoup de choses grâce à lui, et d’ailleurs c’est une de mes motivations pour apprendre le portugais parce que je me suis mis au portugais il y a 8 mois.
Delphine : Ok, super. Merci beaucoup Olivier pour ta disponibilité, ta sympathie, merci aux auditeurs du blog « Une vie merveilleuse » de nous avoir écoutés et d’avoir écouté cet interview, j’espère qu’il vous aura éclairé, qu’il vous permettra d’ouvrir encore un peu plus le champ des possibles et poser un autre regard sur la vie et sur ce qu’on peut faire. Vous avez aimé Olivier Roland ? vous pouvez le retrouver sur son blog, notamment « Des livres pour changer de vie », vous pouvez suivre son actualité sur facebook, mais également sa chaine youtube qui cartonne.
Olivier, pour terminer, est-ce que tu as un dernier petit mot, une phrase fétiche, ou un cri de guerre ?
Olivier Roland : Écoute, juste pour dire que Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études est dans toutes les bonnes librairies, dans les pays francophones, y compris les pays d’Afrique, et qu’on peut aussi le commander en ligne, pour ceux que ça intéresse. Voilà.
Delphine : Parfait, merci beaucoup Olivier, au revoir.
Olivier Roland : Merci à toi Delphine, au revoir.
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C’est génial que tu ais ainsi interviewé Olivier! C’est très intéressant cet interview! merci pour ce partage!
Merci Aline, oui c’était une belle opportunité !
Elle est top cette interviews, je commence tout doucement son livre, des que j’ai un peu de temps entre les formations et le boulot !