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La peur est un manque d’amour, un manque de confiance envers soi, qui nous fait remettre en question nos idées, nos envies profondes, nos rêves. Si l’on s’aime profondément, entièrement, si l’on a appris à se faire confiance, les peurs n’ont plus leurs places dans notre vie. Nous redevenons un créateur libre de toutes contraintes, de toutes fausses croyances, nous redevenons le maitre de notre vie.
Derrière toutes nos actions manquées, nos habitudes ou routines malsaines, celles qui nous éteignent à petit feu plutôt que de nous soutenir, se cachent nos peurs.
Prendre conscience, et accepter que nous avons des peurs est déjà un premier pas. Voir et comprendre qu’elles nous empêchent d’être libre et épanoui dans un domaine de notre vie en est un plus grand. Décider de ne plus les laisser diriger notre vie et faire un travail sur soi en ce sens est l’étape ultime vers la libération et l’éveil.
Je vois souvent des personnes autour de moi qui aimerait changer quelque chose dans leur vie (de travail, de maison, de mari !) mais qui reste dans cette vie parce qu’elles pensent que c’est plus simple de ne pas mettre de coup de pied dans la fourmilière.
Et puis un jour, on décide d’être vraiment heureux, pas juste à moitié non, vraiment heureux. On choisi de vivre pleinement sa vie, de chercher à se comprendre, de travailler sur ses comportements et ses croyances limitantes, de mettre en lumière nos peurs. Le goût d’une vie qui nous ressemble plus se réveille et devient si fort que l’on ne peut plus l’ignorer, la libération peut alors commencer.
La peur est souvent (toujours ?) la raison pour laquelle les gens se contentent de rester dans une situation qui ne leur convient plus plutôt que de tenter une vie de bonheur. Peur de se tromper, peur de perdre, peur du jugement, peur de manquer, etc..
Alors on ne fait pas, on ne tente, pas, on se contente de ce que l’on a, on reste dans ce que l’on appelle sa zone de confort, même si ce terme est étonnant non, cette zone de confort n’est pourtant pas si confortable que ça puisqu’il y a malaise, inconfort justement…
La peur c’est un manque de paix intérieure, un manque profond de confiance en soi et en la vie.
Moi aussi j’étais comme vous.
Il y quelques années encore nombre de mes choix , des plus anodins aux plus important était guidé par la peur. La peur de manquer et la peur du jugement principalement …
La peur de manquer était partout dans ma vie, si bien ancrée que je ne la voyais pas. Beaucoup de mes choix étaient fait inconsciemment pour combler cette peur. Je gardais énormément de choses dont je ne me servais pas, au cas où ça puisse me manquer un jour (des habits trop petits, de la vaisselle donnée dont je ne me servais pas, des livres, des dossiers informatiques etc). Je mangeais avant d’avoir faim, pour être sur de ne pas manquer (ex quand je partais à une soirée où je n’étais pas sur de trouver à manger, je mangeais avant chez moi, même à 17h, au cas ou il n’y ai rien sur place). J’emmenais toujours un tas de truc avec moi au cas où j’ai besoin d’un parapluie, d’un pull chaud, d’une paire de chaussure en plus, etc etc… C’était pour moi normal de faire cela, et je ne voyais pas de problème.
Et puis j’ai mis en lumière un jour, que ces comportements cachaient un excès de peur de manquer. Et que le fait de garder tout ces objets, ces données, le fait de toujours penser à tout emporter avec soi au cas ou, relevait d’un manque de confiance en moi.
Un oiseau sur un arbre n’a jamais peur que la branche casse, parce que sa confiance n’est pas dans la branche mais dans ses propres ailes.
J’ai compris que si j’avais confiance en la vie, si j’avais confiance en moi et en mon intuition qui me guide et me donne des idées au moment où j’ai besoin d’une solution, je n’ai plus à avoir peur de manquer. J’ai compris que si j’écoute mon Moi profond, et que je lui/me fais confiance, je ne manquerai de rien.
Je n’ai pas besoin d’accumuler un tas de chose au cas où j’en ai besoin un jour, le jour où j’aurai besoin de quelque chose que je n’ai pas, j’ai besoin d’avoir confiance que je serai capable de trouver la solution pour le trouver, parce que j’ai une intuition qui me guidera à ce moment là vers une solution, parce que je crois en la vie qui nous apporte ce dont on a besoin au bon moment que ce soit à manger au moment ou j’en aurai besoin, ou que ce soit un parapluie si il pleut.
Je ne dis pas de ne plus jamais prendre un parapluie et ne plus jamais manger avant de partir, je dis juste de ne plus fonctionner en mode « automatique » : je prends la moitié de mes affaires dans mon coffre au cas ou et systématiquement à chaque fois que je sors de chez moi, pour apprendre à fonctionner en mode « je m’écoute et je ressens/j’entends ce dont j’ai besoin là maintenant » et ne prendre que ce que je sens être nécessaire, écouter son corps, ses réels besoins là maintenant.
En mangeant systématiquement à 17h avant de sortir je n’écoutais pas mon corps, j’écoutais mes peurs. Je gavais mon corps au cas ou j’aurais faim plus tard. En apprenant à avoir confiance en la vie, en mes capacités de trouver des solutions pour répondre à mes besoins, je respecte également mon corps ! Et je laisse pleinement la place à ma créativité de s’exprimer.
Que se passe-t-il lorsque nous manquons soudainement cruellement d’un ingrédient dans notre recette ? On fait appelle à notre créativité pour trouver une astuce pour remédier à cela ! C’est ainsi que j’ai découvert qu’on pouvait très bien faire un gâteau au chocolat sans oeufs, et qu’on pouvait faire un gratin sans crème, etc… Lorsque l’on a toujours tout sous la main, notre créativité ne peut s’exercer. En état de manque, notre imagination prend le relai sur notre mental (qui fonctionne par habitude) et notre intuition nous guide vers une solution que nous n’aurions pas testé si nous n’avions pas été en manque.
Expérimenter le manque nous oblige à devenir créatif ! Et c’est comme cela pour tous les domaines de notre vie !
Je vous parlais également plus haut de la peur du jugement, qui a été longtemps très forte chez moi, et elle ressort encore de temps en temps… J’ai réalisé il y q quelques temps à quels point elle m’empêchait de vivre ma propre vie !
Pendant des années, j’ai continué à entretenir par exemple des relations avec des personnes avec lesquelles je n’avais plus trop d’affinité par peur du jugement (qu’est ce qu’elle va penser ou dire si je ne la rappelle pas), je n’ai pas osé quitter mon travail qui ne me plaisais plus parce que, entre autre, j’avais peur que certains me jugent mal d’oser quitter un poste en or et lorsque j’ai démarré mon activité de coach de vie, je n’osais pas toujours dire exactement ce que je faisais. J’avais peur qu’on me traite de sorcières ou charlatan !! Je ne parlais pas de tout à tout le monde, du coup, forcément, je n’étais pas pleinement épanouie dans ma vie, je n’étais pas pleinement moi-même tout le temps.
Quand j’ai pris conscience de cela et que j’ai cherché à redevenir moi en toutes circonstances, je me suis enfin alignée avec ma vrai vie, ma vraie personnalité, mon vrai moi tout le temps, et toute ma vie s’est métamorphosée. J’ai grandit, j’ai évolué, comme si toute ma lumière à l’intérieur, qui était jusque là contenue, a pu enfin être libérée pour éclairer le monde. J’ai compris que la différence était une force pour le monde, et non une tare et que je devais être fière d’être unique et différente par définition ! Que je ne devais plus me cacher derrière la peur d’être jugé pour ce que je fais ou ce que je suis. Qu’au contraire cela était une chance d’être comme je suis, comme tout le monde d’ailleurs.
C’est une chance d’être nous même, parfaitement nous même, comme nous sommes, tel que nous sommes, aujourd’hui et maintenant.
Et vous ? Quels sont vos peurs ? Cet article vous parle ?
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